J'ai des choses assez différentes à vous proposer aujourd'hui ! Une fois encore, je triche parce qu'en réalité il y a dix livres... c'est quand même pas de ma faute si j'ai des intégrales, voilà... Et je trouve beaucoup plus logique de faire une seule chronique pour une série intégrale que d'en faire une par tome. Donc je triche, mais c'est pour votre bien :P
J'ai un peu de tout : du roman, du conte, et des sciences humaines !
Cent dix-huit ans avant ce jour, Nol l’étrange visita tous les rois du monde connu. Hommes et femmes, parmi les plus sages, l’accompagnèrent alors pour un voyage mystérieux, commencé sur l’île Ji. Peu en revinrent, et Nol n’était pas du nombre. Les survivants emportèrent leur secret dans la tombe… Depuis cette date, leurs descendants se réunissent régulièrement pour célébrer cet événement fatal. À part eux, plus personne ne s’intéresse à cette histoire… sauf ceux qui ont commandité les assassinats de tous les héritiers des sages. Pour les survivants, un seul espoir : percer à leur tour le secret de Ji…
Sans grande surprise, j'ai adoré ! Le Secret de Ji suit donc une première génération de descendants mise en danger. J'ai beaucoup, beaucoup aimé l'histoire, l'univers, les personnages... Les dialogues sont super bien écrits, le rythme est géré, c'est top ! (Vous la sentez la fille qui a rien de constructif à dire à part "c'est génial" ? :P) Au final, c'est cette première partie que j'ai préférée si je la compare aux Enfants de Ji puis aux Gardiens de Ji.
Ces deux autres parties sont toujours bien rythmée, toujours bien écrites, mais j'ai un peu moins accrochée aux personnages ou plutôt disons que je les ai trouvé un peu plus "caricaturaux" dans le sens que chacun d'eux était très représentatif d'un caractère particulier, avec moins de nuances ou plutôt des nuances qui ressortaient moins que dans la première partie. Ce qui ne m'a pas empêchée de les dévorer ! (les livres, pas les personnages :P) En revanche, j'ai quand même eu l'impression qu'à la fin, quand les différentes générations se rejoignent et qu'il y a donc beaucoup de personnages à gérer en même temps, on perdait un peu de rythme ou de "profondeur" aux scènes (et c'est normal dans le sens où comme on doit survoler plus de personnages, on peut pas passer autant de temps sur chacun d'eux que s'il y en avait moins) (je critique mais personnellement si j'avais dû écrire tout ça j'aurais été dépassée bien avant d'avoir dû à en gérer quatorze ou plus en même temps donc...).
J'ai aussi trouvé que dans la deuxième partie – Les Enfants de Ji – la résolution du triangle amoureux était un peu brusque. Comme si Pierre Grimbert était allé juste un peu trop loin et c'était dit "ah mince, faut que je règle ça à un moment donné, quand même..." et pof ! C'est un peu dommage (bon, en même temps est-ce que c'est pas un peu ma faute ? dans le sens où je me suis spoilée dès le début en allant jeter un œil à l'arbre généalogique à la fin des Gardiens héhé :P du coup peut-être que mon impression sur la résolution du triangle amoureux en est un peu altérée !).
(Et alors, pour des gens qui sont censés avoir des problèmes de fertilité, ça fonctionne plutôt bien... xP (mais je comprends que du point de vue du scénario et pour lancer la suite, ce soit nécessaire, mais ça m'a amusée ! :P))
Et avec tout ça, malgré le fait que j'ai beaucoup aimé Lana, Reyan, Amanón et Grigán, mon personnage préféré reste le dieu Usul (oui, c'est sans doute un peu bizarre !).
Petit bémol sur l'édition en elle-même. La couverture cartonnée, c'est super, mais je fais partie des lecteurs qui aiment bien plier le bouquin dans tous les sens, surtout sur des gros volumes pas forcément facile à prendre en main, donc je suis pas hyper fan... Et si je comprends les contraintes qui font que pour faire tenir ces trois grosses intégrales chacune dans un livre à 30€, je trouve quand même que le texte était écrit un peu petit (pour vous donner une idée, sur un livre classique on est sur du 300 mots par page, là on était plutôt autour de 700). Enfin, il y a des erreurs d'impression... des mots tronqués ou des mots remplacés par des caractères qui ne sont même pas des lettres ! J'aime beaucoup les éditions Mnémos et je comprends que quand on fait des intégrales, comme on a déjà le texte, on refait peut-être pas une relecture aussi poussée que pour un texte neuf, mais là, quand même... faut pas pousser. Ces erreurs ne sont pas toutes les trois pages, hein, je vous rassure. Mais il y en a au moins une, je crois au milieu d'un dialogue, qui fait que l'on ne comprend même pas ce que dit le personnage !
Il n'y a pas de résumé, mais je ne résiste pas à l'envie de vous mettre l'incipit qui donne le ton à lui seul !
"La sottise humaine est incurable : Molière n’a corrigé personne. M. Levrault s’était enrichi à vendre du drap près du marché des Innocents. Une fois retiré des affaires, l’orgueil et l’ambition lui montèrent par folles bouffées au cerveau. Il faut croire que les écus ont, comme le vin, des vapeurs enivrantes. Quand il se vit à la tête de trois millions, honnêtement et laborieusement acquis dans la boutique de ses pères, ce brave homme, pris de vertige, découvrit que la richesse, qu’il avait considérée longtemps comme le but de sa destinée, n’en était que le point de départ : il éprouva le besoin de faire peau neuve, de sortir des régions obscures où il avait vécu jusque-là et de s’élancer, comme un papillon échappé de sa chrysalide, vers les sphères brillantes pour lesquelles il se sentait né."
J'avais découvert Jules Sandeau avec La Roche aux mouettes, une vieille édition trouvée dans l'école où travaille ma mère. J'avais beaucoup aimé et du coup j'ai eu envie de lire autre chose de lui ! :)
Monsieur Levrault est un nouveau bourgeois gentilhomme sur fond de révolution. Il tente d'utiliser sa fille, à marier, pour s'élever dans la société. Évidemment, il se fait mener par le bout du nez par tout le monde ! La plume de Jules Sandeau est facile à lire et drôle ! J'ai beaucoup aimé la fin. Le narrateur nous dit plusieurs fois que cette histoire n'est pas une histoire d'amour – et c'est vrai – mais en fin de compte elle s'ouvre sur une histoire d'amour (c'est important pour mon petit cœur fragile, vous savez).
Évidemment, comme le début donne tout de suite le ton, on sait ce qu'on va lire ! Mais justement je trouve que c'est ce qui fait tout le charme de cette histoire !
Par contre, là encore, bémol sur l'édition. Étant donné que ce livre a été publié au XIXème siècle, il n'y a normalement pas de questions de droits d'auteurs, donc on s'attendrait à un livre à un prix assez faible (de quoi rentabiliser l'impression, en fin de comptes) mais en fait... il vaut 30€ ! Je pense que ça vient du fait que la BNF, Gallica, et Hachette doivent tous se rétribuer dessus. Mais tout de même je trouve ça un peu beaucoup, surtout quand on sait que la couverture est la même pour tous les livres de la collection et qu'elle n'a donc rien coûté, et qu'à l'intérieur les pages sont des reproductions de l'édition ancienne. Le texte n'a pas été retranscrits sur nos imprimeries à nous. Donc le travail sur cette édition est assez réduit. Du coup, vendre à ce prix-là une édition comme ça d'un texte libre de droits... comment dire... pour le même prix ou à peu près je peux me procurer une édition ancienne, avec le plaisir du vieux papier et des vieilles couvertures en prime...
Donc l'idée de cette collection qui publie de vieux trucs oubliés introuvables aujourd'hui est très bonne, mais la réalisation finale pose quand même question, à mon sens, et pour être tout à fait sincère je ne sais pas si je reprendrais un livre de cette collection...
Le monde musulman au début du XIIIe siècle est le théâtre de bien des crises : pouvoir contesté, désordres dans la rue comme dans l’intimité des demeures… La femme, mille et une ruses à l’appui – et malgré le carcan de la loi –, n’est pas la dernière à tirer parti de ce climat. Au fil des contes imaginés par la belle Schéhérazade, c’est toute la face cachée d’un monde qui se révèle, un monde où la passion parle haut et où la magie fait corps avec le quotidien… La présente édition est la seule, de par le monde, à avoir été établie à partir des manuscrits originaux, la seule à être rigoureusement fidèle au texte arabe, et à en restituer les vertus natives : impertinence, âpreté visionnaire, voluptueuse crudité.
Ça faisait plusieurs années, depuis mon Service Civique en 2018, que je voulais lire Les Mille et Une Nuits. Il y a quelques temps j'ai profité d'une discussion avec Nora et je me suis lancée ! Je me suis donc tournée vers la traduction de référence, établie par René R. Khawam sur les manuscrits anciens. Ce travail lui a pris quarante ans ! Parfois en lisant je me disais que j'avais dans les mains le travail d'une vie (sans compter qu'il n'a pas traduit que ça !) et je trouvais ça incroyable !
Les Nuits sont divisées en quatre tomes chacun ouvert par une préface qui permet de remettre le texte dans son contexte d'époque. Les tomes ne sont pas divisées en nuits : le récit-cadre de Charazade est résolu dès le début du premier tome. C'est une critique qui a été faite à René R. Khawam au moment où il a publié la traduction mais comme il le dit lui-même la division en nuits n'est pas faite dans tous les manuscrits anciens. Et personnellement je pense que ça m'aurait vite ennuyée de lire "nuits 400 à 425". Je pense aussi que j'aurais eu tendance à vouloir calculer en années et ça m'aurait plus saoulée qu'autre chose, donc c'est très bien comme ça !
Les notes de bas de page sont bien placées, et permettent de mieux comprendre le contexte des Nuits. Mais j'aurais bien voulu une note pour expliquer pourquoi le nombre quarante revient beaucoup (comme trois, dans nos contes).
Les personnages des Nuits sont tous un peu frappadingues et très réussis ! Le barbier est véritablement insupportable ! Sans compter les ifrites qui s'amusent à déplacer les gens pendant leur sommeil ! x)
J'ai eu un peu plus de mal à finir certains contes mais c'est une histoire de goûts personnels ! Je craignais que l'emboîtement d'un conte dans un conte dans un conte dans un conte soit un peu dur à suivre mais au final pas du tout ! Déjà, il y a des intertitres pour marquer le début d'un emboîtement, et même sans ça on retombe toujours facilement sur des pattes !
J'ai beaucoup aimé les Mille et Une Nuits, je pense même que ces contes sont devenus mes préférés ! :) Ils sont très vivants et parfois drôles !
(J'ouvre ici une parenthèse que vous pouvez sauter si ça vous ennuie : on a pu entendre il y a quelques jours Camélia Jordana dire à la télé et sans contradiction en face, que la compétition entre amies, entre sœurs, bref : entre femmes, pour les hommes avait été inventée par l'Occident ; que la jalousie a été inventée en Occident. Il y a sans doute beaucoup de choses à dire là-dessus mais je ne m'intéresse pas assez à Camélia Jordana pour perdre du temps à faire des recherches. En revanche, comme ma lecture des Nuits m'a fait tomber au même moment sur des éléments de réponse, j'en profite. Les Nuits ont été rédigées au XIIIème siècle, dans le monde musulman ; peut-être en Syrie, peut-être en Égypte, peut-être ailleurs... Autrement dit, on est loin de l'Occident. Et pourtant, des histoires de femmes jalouses, on en trouve !
J'en ai trouvé trois. La première, c'est une femme jalouse de la nouvelle concubine de son époux à qui elle n'a pu donner d'enfant. Alors, elle transforme la seconde épouse en vache, son enfant en veau, et elle tente de les faire sacrifier. La deuxième, c'est une jeune femme qui passe du bon temps avec un jeune homme, tous les soirs chez lui. Un soir, elle amène sa sœur et propose au garçon de passer du temps avec elle. Il accepte mais, jalouse, la jeune femme égorge l'autre dans son sommeil et s'enfuit, faisant accuser le jeune homme du meurtre du même coup. La troisième, c'est une reine qui convoitait l'un de ses esclaves qui lui-même s'était épris d'une servante de la reine. Alors la reine, jalouse (elle le dit ouvertement elle-même) a transformé l'homme en oiseau, et a tué la femme.
Donc, d'une part, on trouve des histoires de jalousie. D'autre part, la jalousie est décrite comme un sentiment humain. Voilà ce que Dame Clair-de-Lune dit au sultan Armânoûs : "[...] Oui, je sais, la jalousie des femmes dépasse la mesure et souvent elles ne veulent pas qu'un homme prenne deux femmes en même temps [...]". Dans La force de l'amour, Zoubayda était jalouse, elle-aussi, et plusieurs fois personnages et narrateur insistent sur ce défaut. C'est le cas lorsque la vieille servante explique au khalife comment elle en est venue à souffler l'astuce utilisée par Zoubayda et prête à sa maîtresse ces propos : "Mais c'est la jalousie qui seule m'animait, la jalousie ordinaire des femmes, que Dieu les rende impuissantes et réserve aux hommes ses bénédictions !". Dans un autre conte (je n'ai pas noté la page et je ne la retrouve pas donc pour la citation exacte, on repassera ! :/) il est dit par un personnage que la jalousie est le sentiment le plus universellement partagé.
Donc non, la jalousie n'a pas été inventée par l'Occident. Je pense que Camélia Jordana, au lieu de répéter bêtement les inepties de pseudo-féministes radicales déphasées ferait mieux de se poser les bonnes questions, surtout quand elle met en avant ses origines berbères... (je suis mauvaise, mais je n'ai pas envie de m'excuser, ces gens me fatiguent). Bref. Je referme cette longue parenthèse !)
Je n'ai aucune remarque à faire sur l'édition, cette fois ! :P
Avec une rigueur méticuleuse et un humour subtil, Juliette Cazes nous embarque dans une expédition pleine de rebondissements à travers le monde et ses traditions funéraires. Des cercueils en cage en Écosse, des têtes momifiées en Nouvelle-Zélande, des funérailles musicales à La Nouvelle-Orléans ou encore des inhumations célestes au Tibet... À ses côtés, découvrez dans la joie et la bonne humeur comment on cohabite avec les morts, ailleurs !
C'est Marie de La Lune mauve qui, parlait de ce livre dans l'un de ces articles (nous sommes en désaccord sur des points fondamentaux mais j'apprécie son blog !) et m'a donné envie de le lire.
La mort est un thème qui m'intéresse, même si finalement je fais peu de recherches dessus.
Dans ce livre, Juliette Cazes nous explique le pourquoi du comment de certaines traditions funéraires. C'est bien écrit et très intéressant même si j'aurais souvent aimé plus d'explications. Mais d'un autre côté c'est un petit récit de vulgarisation et pas un manuel universitaire, donc peut-être aussi que plus d'explications l'aurait rendu d'autant moins accessible (?).
Juliette Cazes décrit et explique les traditions funéraires en revenant sur le contexte, l'Histoire, etc. C'est toujours très intéressant et ça se lit très bien ! J'ai trouvé que les choix étaient bien faits et quand l'autrice prend position ce n'est jamais radical ou catégorique, elle évoque la complexité des problématiques et c'est reposant de lire quelqu'un dont la position n'est pas complètement polarisée ! J'ai aussi beaucoup aimé le fait qu'avec les choix qu'elle a fait on visite tous les continents !
La partie sur la Roumanie entre en résonnance avec la dernière partie du livre suivant ! ;P
Par contre, j'ai encore quelque chose à dire sur l'édition en elle-même... Vers le milieu du livre, il y a pas mal d'erreur de typographie. Des mots ou des morceaux de mots sont en italique quand ils n'ont aucune raison de l'être, ce qui est un peu perturbant à la lecture (surtout quand il est tard et que le cerveau tourne au ralentis).
Prince des vampires pour le cinéma hollywoodien, chef militaire pour les historiens, Dracula fut aussi souvent considéré comme un tyran sanguinaire. Mais où finit l’histoire ? Et où commence le roman ?
Si l’on sait que Vlad III, un prince médiéval connu sous le nom de « l’Empaleur », a bien existé, les interprétations à son sujet sont aussi variées que peuvent l’être celles qui entourent les mythes. S’appuyant sur des documents d’époque, cette première biographie historique de Dracula dévoile les multiples facettes de cette figure du XVe siècle, personnage complexe et mal-aimé de l’histoire.
Je ne sais pas trop quand la figure de Dracula s'est insinuée dans ma tête. Je crois que ça fait plusieurs années. Je devais être adolescente, je pense, et j'avais vu un documentaire sur National Geographic channel sur Vlad III Tepes, celui du roman de Bram Stocker. Roman, d'ailleurs, que je n'ai jamais lu. Je n'ai jamais vu les films non plus. On a dû voir en classe, au collège peut-être, celui de Coppola mais je ne m'en souviens pas vraiment. Toujours est-il que quand je suis allée zieuter sur le site de Tallandier ce qu'il y avait comme trucs dans la collection Texto et que j'ai vu la biographie du vrai Dracula je l'ai direct mis sur ma liste !
Les deux premiers chapitres reviennent sur le père de Dracula et permet de mieux comprendre le contexte dans lequel il arrive une première fois au pouvoir de l'État de Valachie en 1448. Ensuite, c'est davantage une histoire politique de Dracula (en même temps, il n'a pas laissé de journal intime, d'ailleurs sans doute ne savait-il pas écrire (et je ne sais pas si le fait d'écrire ses mémoires ou ses pensées était déjà très répandu)), jusqu'à sa mort. Mort qui d'ailleurs a deux versions (trahi et abattu dans le dos, ou pris pour un Turc et tué par ses propres troupes). Matei Cazacu revient aussi sur le Dracula et Bram Stocker et sur les croyances des vampires en Roumanie. C'est cette partie (et certains éléments évoqués dans le récit) qui dialogue avec le livre de Juliette Cazes ! Je les ai lu l'un après l'autre, du coup j'ai trouvé ça assez intéressant !
L'écriture est agréable (ce qui n'est pas le cas de tous les bouquins d'Histoire... :P) mais il y a pas mal d'aller-retours dans les explications et parfois j'ai eu un peu de mal à accrocher les wagons ensemble, je suis pas mal revenue en arrière, etc. Surtout qu'il y a beaucoup de noms, d'alliances, de traités... Ou alors c'est juste moi qui suis complètement déphasée et qui n'ai plus l'habitude de lire des monographies ? Dans tous les cas, j'ai trouvé ça très intéressant !
Mais là encore, dans l'édition, il y a des petits problèmes d'impression, de trucs qui devraient être en italique et ne le sont pas, et j'ai même vu une faute de conjugaison (bon, une sur 400 pages, ça passe large !). Je vous jure que je n'ai pas fait exprès de rassembler quasiment que des livres avec des problèmes ! x) Ça ne donne pas une très bonne image des maisons d'édition... on va dire que c'est un hasard et que je suis mal tombée.
Est-ce que certains de ces livres vous intéressent ? Ou en avez-vous déjà lus ? Que lisez-vous en ce moment et que comptez-vous lire ?
bonjour, comment vas tu? je ne me suis pas encore penchée sur le cas des livres audio... et maintenant je n'ai plus de quoi les lire. c'est bien dommage. d'autant plus que le dernier (sur Dracula) me tente beaucoup. passe un bon mercredi et à bientôt!
RépondreSupprimerSalut :) Ça peut aller et toi ?
SupprimerMoi non plus, je ne me suis pas encore penchée sur le cas des livre audio. J'avais téléchargé à un moment une appli avec des lectures de choses passées dans le domaine public et je m'en servais pour mettre des contes et m'endormir (comme les enfants, haha xD) mais je ne sais plus pourquoi, j'ai arrêté... je crois que ça déchargeait trop mon téléphone.
Faut dire aussi que j'aime beaucoup le fait de lire !
Je pense que la biographie de Dracula serait très agréable à écouter, car c'est quand même bien écrit, et que les retours en arrière seraient moins gênant dit que lus, je pense !
Coucou. Eh bien, je suis impressionnée de tout ce que tu as lu ! Je ne prends pas le temps de lire en ce moment, et même depuis plusieurs années, et ça me manque beaucoup. C'est fou tiutes ces erreurs dans les livres que tu nous présentes. Je n'aurai pas aimé lire le 1er pour ces raisons. Ça m'aurait perturbée. Gros bisous
RépondreSupprimerSalut :)
SupprimerJ'ai recommencé à lire pendant le premier confinement puis l'été (le chômage, ça aide à avoir du temps) et je sortais d'une période où si je lisais 5 livres par an j'étais contente... Maintenant, on ne m'arrête plus ! J'ai encore 8 livres qui m'attendent dans un carton et je sais quels livres je commanderais en Mars-Avril (j'attends la sortie d'un manga pour tout prendre en même temps). Faut dire aussi que je me réfugie beaucoup dans la lecture comme en ce moment ça va pas trop, et que je redoute beaucoup le moment où j'aurais un travail et où j'aurais moins de temps (et en même temps j'attends de pied ferme le moment où j'aurais un travail parce que j'en ai besoin !).
Oui, c'est assez fou !
Après, pour le premier, ça a dû arriver 2 fois en 700 pages (des pages de 700 mots donc l'équivalent d'un 1 400 pages habituel) donc ce n'est vraiment pas si terrible, mais c'est vrai que ça surprend et sort de la lecture et c'est vraiment dommage !
Je valide Funèbre ! Ce livre est super ! Une petite pépite ce livre.
RépondreSupprimerJe me garde de côté celui sur Dracula car il a l'air vraiment pas mal dutout :)
Oui, la bio de Dracula est vraiment, vraiment pas mal et très intéressante !
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